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Une vie à brûler
James Salter
Collection | Littérature étrangère |
Parution | 06 juin 2013 |
Livre | 145 × 220 mm 448 pages EAN : 9782823602555 20,00 € |
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Philippe Garnier
James Salter fait figure de légende. À cet ancien pilote de l’US Air Force, romancier et scénariste à Hollywood, on prête un amour excessif du danger, le goût des femmes et une passion pour la France. Et l’on n’a pas tort, à en juger par son autobiographie. Salter s’y montre moins soucieux d’entretenir la légende que de dire la vérité. C’est pourquoi ce livre, contrairement à tant de mémoires d’écrivains, sonne si juste.
Salter raconte : son enfance à New York dans les années 30, l’influence de son père qui le conduit à West Point, la prestigieuse académie militaire où – fait rarissime pour un juif – il fait toutes ses études avant d’entrer dans l’armée de l’air, puis la Corée et ses missions de pilote de chasse sur les premiers jets supersoniques. Il démissionne de l’armée pour se consacrer à l’écriture, devient romancier (Un sport et un passe-temps, Un bonheur parfait, etc.) et scénariste. Dans le récit qu’il en fait, Salter trace d’admirables portraits, de Kerouac à Irvin Shaw, de Robert Redford à Joe Fox : c’est drôle, cruel, un brin nostalgique.
Nécessairement inachevés, ces mémoires sont un tour de force narratif et stylistique. Dans une prose ciselée, un des derniers grands écrivains américains nés avant la guerre jette un regard ironique et grave sur notre époque.
Une vie à brûler. Autobiographie
James Salter
Collection | Petite Bibliothèque de l'Olivier |
Parution | 07 novembre 2001 |
Livre | 130 × 185 mm 444 pages EAN : 9782879293165 12,20 € |
« Ce livre m’a demandé dix ans. Pour l’écrire, j’ai exhumé mon journal. Je suis retourné à Paris, à Munich, à Rome, à Hawaii, au Maroc… J’ai même loué un avion sur la base américaine où j’avais appris à piloter. À mesure que je volais, les souvenirs, les sensations me revenaient, un peu à la manière de ces coquillages japonais qui s’ouvrent et laissent s’épanouir une fleur lorsque vous les immergez. L’événement central de ma vie a été la guerre, ces années qui m’ont formé, qui me hantent et reviennent sans cesse. Mais, au-dessus de tout ça, il y a le chant des mots, leur musique si particulière. Grâce à eux j’aurai su jusqu’au bout retenir mes souvenirs et quoi faire de ma vie. » James Salter
Traduit de l'américain par Philippe Garnier.
Une vie à brûler. Autobiographie
James Salter
Collection | Littérature étrangère |
Parution | 07 octobre 1999 |
Livre | 145 × 220 mm 448 pages EAN : 9782879291789 23,00 € |
James Salter fait figure de légende. À cet ancien pilote de l'US Air Force, romancier et scénariste à Hollywood, on prêtait un amour excessif du danger, le goût des femmes et une passion pour la France. Et l'on n'avait pas tort, à en juger par son autobiographie. Même si Salter s'y montre moins soucieux d'entretenir la légende que de dire la vérité. C'est pourquoi ce livre, contrairement à tant de mémoires d'écrivains, sonne si juste.
Salter raconte : son enfance à New York dans les années 30, l'influence de son père qui le conduit à West Point, la prestigieuse académie militaire où – fait rarissime pour un juif – il fait toutes ses études avant d'entrer dans l'armée de l'air, la Corée et ses missions de pilote de chasse sur les premiers jets supersoniques.
Il démissionne de l'armée pour se consacrer à l'écriture, devient romancier (Un sport et un passe-temps, Un bonheur parlait, etc.) et scénariste. Dans le récit qu'il en fait, Salter trace d'admirables portraits, de Kerouac à Irvin Shaw, de Robert Redford à Joe Fox : c'est drôle, cruel, un brin nostalgique.
Nécessairement inachevés, ces mémoires sont un tour de force narratif et stylistique. Dans une prose ciselée, un des derniers grands écrivains américains nés avant la guerre jette un regard ironique et grave sur notre époque.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Philippe Garnier.